victimes d'avocats 33
> déboires de la famille X

 

Monsieur et Madame X et leurs enfants décident d'acquérir en 2001 une grande propriété afin d'y loger toute leur famille parents enfants et beaux parents compris , pour se faire ils créent une S.C.I avec leurs fille gendre un oncle et une tante , le gendre nomé gèrant ,puis contractent un prêt bancaire. L'opération n'était que provisoire car les époux X devaient attendre la négociation de leur bien situé dans un autre département pour solder le crédit ,dégager les cautions et répartir les parts de la SCI à leurs quatre enfants.Après trois ans d'occupation Mademoiselle X "la fille" est quittée par son compagnon et celui-çi pour gèrer le désistement du prêt et de la SCI fait appel à un avocat de la région de PODENSAC maître J afin d'être conseillé. Maître J certifie qu'il n'en aura pas pour longtemps car il est spécialiste en droit des SCI ,et dans la foulée propose le rachat des parts par son ami de longue date vivant dans les îles . Une assemblée générale est faite dans le cabinet de maître J et amène donc la SCI au changement de gérant et procède également à l'exclusion de l'oncle et la tante avec la promesse de compensations financières à la vente de l'immeuble. Le but de maître J et de son complice est bien sûre de vendre la propriété  bien plus cher que son prix d'achat après avoir expulsés les époux X et leur famille. Maître J a donc sois-disant mis son ami comme caution à la place des trois anciens associés et les a dépossèdés de leurs parts; bilan pour eux ils sont toujours caution car il n'y a pas eu de substitution de caution mais ils n'ont plus les parts. 

A partir de ce moment une cascade de procédures a lieu car l’avocat qui est introduit en tant que conseil dans plusieurs directoires de banques de la région et fait partie du comité directeur de banques associatives locales; fait donc interdire tous paiements servant à honorer les traites aux époux X et à leur fille et amène le tribunal à juger les époux X et leur famille sans droit ni titre.

Les époux X et leur fille ont engagés plusieurs procédures auprès du tribunal de BORDEAUX et ont été toujours déboutés mais pendant ce temps aucune traite n’était honorée par le nouveau gérant les impôts impayés également.

Les deux complices ont même gagnés la procédure d’expulsion des époux X qui se sont vus infliger une indemnité journalière d’occupation de 500e. Trois avocats successifs ont défendus courageusement ces dossiers et ont constatés à leur grande surprise les échecs de ces diverses procédures appels compris. Pourtant leur avis est unanime piège judiciaire et les époux X victimes d’une association de malfaiteurs.

A aujourd’hui les époux X vivent toujours dans la propriété car les deux complices n’ont pas voulu payer les frais d’expulsion et ont craints des retombées médiatiques qui pourraient déstabiliser leur réputation professionnelle et entraîner un malaise vis à vis de leurs complices francs maçons comme s'en vante maître J.

La propriété a été saisie par la banque car le dossier est remonté sur PARIS au service contentieux ou maître J n’a pas d’appui et vient d’être vendue aux enchères. Les époux X ont pu racheter leur bien à la barre mais à la fin du délai légal maître J a déposé une demande de surenchère en son propre nom ce qui au vu de sa profession d’avocat étant intervenu dans la S.C.I est illégal, il a de plus mentionné sur sa demande de surenchère une fausse adresse d’habitation et omis de préciser sa profession certainement dans le but de tromper le juge ou de le dédouaner si il fait partie de la FM."franc maçonnerie".

 Les époux X ont déposés une demande d'annullation de surenchère auprès du juge par leur avocate qui était représentée par un confrère Parisien afin d’éviter toutes représailles de la part de maître J. A l’audience une jeune stagiaire représentait maître J qui ne connaissait ni maître J ni le dossier, l’avocat de la banque lui n’a déposé aucune conclusion trouvant juste que les époux X récupèrent leur bien tout en remboursant la banque, l’avis du juge allait donc donner raison aux époux X vu la tournure  ?? C'est au résultat de ce jugement qu'ils connaitront l'influence de maître J sur le juge et mettra au grand jour leurs magouilles ....  

il est important de noter que maître J qui connait bien la situation financière de la SCI puisqu'il a activement participé à sa ruine ; présente une note d'honoraires de 37 000e. Maître J a tout fait au cours des procédures pour vendre la SCI aux époux X pour un montant variant selon son humeur de 50 000e à 80 000e et tout cela sans ne justifier d'aucune comptabilité. Maître J a même été jusqu'à exercer un chantage aux époux X proposant de ne pas surenchérir si ceux-çi lui versaient ses 37 000e alors qu'ils ne lui doivent rien.

 

 

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